Remarque : Notons qu'aucun des programmes donnés ici en exemple n'est « protégé » contre une mauvaise utilisation avec des paramètres non pertinents...
On va maintenant créer une procédure qui calcule, pour un terme donné , le terme suivant de la suite
défini par :
.
On a donc deux paramètres : le terme donné de la suite, appelé dans la procédure, et
.
Ecrivons une procédure qui, pour la même suite qu'au 42.1, calcule, en calcul approché « flottant », pour
,
et
paramètres donnés, que dans la procédure, on appelera respactivement :
.
Il s'agit ici d'étudier le comportement des suites définies par :
Ecrire une procédure de paramètres et
qui calcule
.
Ecrire maintenant une procédure qui calcule le premier tel que
, de paramètres
et
, limitée à 500 itérations en cas de divergence ou de convergence très lente ... En sortie, on donnera
pour voir s'il semble y avoir convergence ou non.
Mathématiquement, l'observation de ces suites ne prouve ni leur convergence, ni leur divergence.
On considère la suite de polynômes définie par :
pour
entier naturel
Ecrire une procédure de paramètre , qui calcule de façon réduite et ordonnée
.
On remarquera le « from 2 » qui traduit simplement le fait que le premier polynôme qu'on calcule effectivement est .
On a bien sur déjà chargé le package linalg. On prend ici une matrice qui possède 3 valeurs propres simples : 1, 4 et 7.
On constitue la suite de vecteurs définie par un pemier vecteur et la relation :
.
On a donc une suite de vecteurs normés, sauf éventuellement le premier.
Quand cette suite converge, elle converge vers un vecteur propre, correspondant le plus souvent à la plus grande valeur propre en valeur absolue.
On a la matrice et le vecteur de départ :
On écrit donc une procédure à 2 paramètres et
qui calcule la suite
jusqu'à ce que la norme de la différence de 2 vecteurs consécutifs soit assez petite.
Le nombre d'itérations est limité et on travaille bien sûr en « flottant ».
Ce qui donne :
On essaye cette procédure :